Tapies dans les recoins de mes savoirs, quelques croyances tenaces encore, continuent à être démasquées à la lumière de nouvelles réalités que je perçois…
Il en est une qui me fait beaucoup sourire…
A l’école de la vie économique, j’ai appris à faire l’éloge du capital et de toutes formes d’immobilisation. A l’école de la vie intérieure, j’apprends que la vie circule et danse sans rien retenir…
Pauvre capital… : à être immobilisé comme il est, allongé sur ses « lit-asses » de billets, cloué par la pointe de ses propres intérêts, à force d’être trop loué… Et menacé de peine capitale : la décapitation de ceux à qui il a fait perdre la tête par ceux qui ont perdu l’espoir…
Avec beaucoup de tendresse, je lui rendrai visite dans sa chambre inhospitalière, et lui conterai -sans compter- les délices d’une vie qui ne fait que donner dans l’abon-danse…
Avec humour et poésie – comme toujours !- c’est si vrai…
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